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Thèse
SALES, Kall Lyws Barroso No Limiar da Tradução: Paratextos e Paratraduções de Le Gone du Chaâba de Azouz Begag | Lieu : PGET Directeur de thèse : UFSC Année : 2014 Pages : 123 p. Type : Mémoire universitaire Première inscription pour les thèses : , Langue : Portugais
| Notations : La présente étude traite des paratextes et paratraductions de la littérature
Beur d’expression française qui, contenant nombre d’informations sur
l’auteur et sur l’histoire de cette littérature, sont aussi responsables pour
la présentation du traducteur. Analysant la littérature produite en langue
française par les écrivaines et écrivains issus de l’immigration
Maghrébine, on se rend compte que l’idée de langue maternelle est
mutable, car elle est ce qu’on entend par langue du colonisateur, une
langue imposée. La littérature francophone des auteurs Beurs cherche à
transformer cette apparente hégémonie de la langue française et, ainsi,
l’utilisation de paratextes est fréquente. On analysera donc les paratextes
des deux éditions françaises du roman Le Gone du Chaâba de Azouz
Begag et les paratraductions présentées par la traduction americaine,
Shantytown Kid (2007), traduit par Alec Hargreaves et Naïma Wolf, et
la traduction espagnole, El ninõ de las chabolas (2011), traduit par
Elena García-Aranda. On classifiera les paratextes selon Genette et son
oeuvre Seuils, traduit en portugais par Àlvaro Faleiros, Paratextos
Editoriais (2009). On classifiera les paratraductions d’après le concept
de Yuste Frías et son étude Au seuil de la traduction: la paratraduction
(2010) et selon Marie-Hélène C Torres dans son livre Traduzir o Brasil
Literário, paratexto e discurso de acompanhamento (2011). On
montrera finalement que l’espace de ces ‘épitextes’ et ‘péritextes’ est
nécessaire pour démontrer que la paratraduction est le lieu où on perçoit
la visibilité du traducteur et du processus de la traduction, car c’est le
lieu où le traducteur met en évidence sa voix. |