Robert
LETAN recherche des éditeurs
Le parcours du combattant
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Un sacré parcours depuis sa
naissance en 1922 sur les champs de bataille de la première guerre mondiale.
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A douze ans certificat
d’études.
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A treize : mousse dans
la sidérurgie Thionvilloise.
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A quatorze, luttes ouvrières
avec le Front Populaire.
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A dix-sept, deuxième guerre
mondiale, engagé en Octobre 1939.
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A dix-huit, prisonnier
pendant la bataille de France.
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A dix-neuf : évadé d’un
camp de prisonniers de guerre, il rejoint le Maroc et les Troupes Coloniales.
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A vingt il est au Sénégal.
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A vingt-deux il débarque en
Provence.
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A vingt trois il est
démobilisé. Il est ensuite électricien dans une société de transports
automobiles entre Colomb Béchar et Gao,
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A vingt quatre il est mineur
à la mine de charbon saharienne de
Kenadsa où sa popularité le met à la tête du syndicat des mineurs. Ce qui lui
vaut la quasi expulsion de l’Algérie après son soutien au mouvement d’indépendance
du Maroc et notamment les manifestations en faveur de Ali Yata
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Rentré en France, avec ses
références politiques, il grimpe les échelons dans la hiérarchie du parti
Communiste Français, mais en 1955, en désaccord avec le stalinisme, il déchire
sa carte et se consacre, alors,
furieusement à rattraper le temps perdu dans sa carrière
professionnelle.
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A force d’études il devient
chef d’atelier d’une société française
qui équipe les grandes industries en appareils de levage spéciaux dont il
réalise les plans d’équipements électriques, très innovants pour l’époque, pour
l’usine atomique de Marcoules .
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En 1959 retour au Maroc.
chef d’ entretien d’une grande mine de plomb et de zinc de l’Oriental.
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Puis expert d’electromécanique minière, dans une société internationale d’études minières.
Ensuite pour un organisme marocain de
recherches minières où il réalise les équipements electro mécaniques de deux
nouvelles exploitations
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Il quitte la mine pour
devenir l’Ingénieur, chef du bureau d’etudes d’une grande société française d’équipements électriques
installée au Maroc.
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Et enfin, en 1968, il ouvre
sa propre affaire, une entreprise d’équipements de pompage d’eau potable. Dix
ans après il s’y ruine complètement et au lieu d’abandonner comme l’y incite
toute sa famille et rentrer en France, à cinquante-six ans il démarre son
actuel cabinet d’Ingénieur Conseil qui jusqu’à présent avec quelques belles
réalisations lui vaut une notoriété bien méritée.
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Mais
parallèlement à sa profession il se passionne pour l’histoire et l’archéologie
du Maroc et engage des correspondances avec de nombreux scientifiques.
Explorateur
des régions sahariennes il fait de nombreuses découvertes archéologiques dont
le remarquable site du Jbel Hamsailik
où il découvre la présence dans la vallée du Draa et les montagnes de
l’Anti-Atlas des grands navigateurs normands à l’âge du bronze.
C’est à ces
deux passions et à l’écriture qu’il se consacre désormais en totalité
Travaux
« Le Pied Noir »
Roman de 338 pages
Ce roman qui a
pour toile de fond le Maroc de la conquête coloniale francaise, puis celui de
sa décolonisation, pourrait être considéré comme un roman historique.
Mais c’est
surtout le récit d’une de ces prodigieuses aventures qui au début du siècle
pouvait encore arriver à ces pionniers de nouveaux mondes, qui n’ayant plus
rien à perdre dans leur pays acceptaient tous les risques des terres vierges
auxquelles ils accédaient en conquérants.
Mais c’est
aussi et surtout un roman d’amour, un double roman d’amour d’ailleurs puisque
l’amour pour la femme que le héros rencontre est inséparable de l’amour porté à
son nouveau pays.
Un amour caché
car interdit, de Gustave le français pour M’Barka la berbère, et un amour porté
par la berbère à Alexis, l’enfant de l’épouse française morte qu’elle va
remplacer et à qui elle va insuffler sa propre culture .
Le Pied-Noir c’est
ce petit garçon, né au Maroc, élevé par une berbère, partageant les jeux des
enfants juifs du Mellah et des petits arabes de la Médina.
Une enfance
dans un rêve de quarante ans auquel les luttes de l’Indépendance mettront fin
Mais Alexis
abandonnera t il ces tombes au pied du marabout où pour l’éternité dorment les
amants qui ont fait de lui ni marocain, ni français : un Pied-Noir
« Et sans perdre un seul jour se mettre à rebâtir »
Roman de 220 pages
Suite du « Pied-noir » Alexis avec l’indépendance du Maroc se
découvre à cinquante ans complètement
ruiné et seul. Va t il comme beaucoup rentrer en France ? Il ne le peut
son vrai pays est ici. Dans son désarroi il rencontre Sofia une jeune femme qui
saura lui insuffler l’énergie qui lui permettra dans le Maroc moderne de rebâtir une vie nouvelle. Et ainsi il renoue,
dans de nouvelles circonstances, avec
la pensée pionnière de son père.
« Les âmes
errantes »
Roman genre fantastique ayant pour cadre le Maroc saharien. 213 pages
Zaineb la marocaine épouse de Michel l’archéologue, rencontre par
hasard la française Nathalie dans un village de vacances. Mais est-ce vraiment
le hasard ?Les deux jeunes femmes sont irrésistiblement attirées l’une
vers l’autre par un étrange amour auquel elles associeront Michel.
Ce ne sera pas dans la luxueuse villa casablancaise que se dénouera
l’étrange mystère qui associe et trouble ces trois êtres. Mais seulement quand
après avoir découvert dans une grotte saharienne les cadavres, momifiée par les vents du désert, d’ une
jeune femme qui tient encore son bébé sur son sein, Michel dans un tombeau princier qu’il fouille déclenchera une
résurrection fugitive de ces trois âmes qui, pour un amour brisé, errent depuis
deux millénaires à la recherche l’une de l’autre.
L’auteur archéologue de la protohistoire saharienne associe le lecteur
au charme de ses passionnants travaux et de l’étrange ambiance du grand désert.
« Pour une princesse berbère »
Roman d’aventures dans le Maroc du XVI siècle. 431 pages
Aventures chevaleresques, coups d’épées, duels et belles Princesses.
Rudes combats, traitrises et amours.
Généralement on trouve ce genre d’histoires dans le cadre de l’Europe
Chrétienne. Cette fois c’est dans ce Maroc des débuts de la Renaissance ou
règnent les puissants souverains Saadiens, que ces aventures se passent.
L’auteur qui vient de publier un ouvrage d’histoire sur les forteresses
d’Azemmour et de Mazagan a imaginé ce roman en partant d’anecdotes tout à fait
authentiques relevées dans ses sources historiques.
Myriam, la belle et fière princesse d’Azemmour en grand danger d’être
dévorée par un fauve est sauvée par le Chevalier portugais Dom Diégo de
Vasconcelos. Avec lui elle va souffrir les tourments d’un grand amour que
semble rendre impossible leurs religions différentes. Mais qu’est ce qui est
vraiment impossible à ceux qui s’aiment ? Surtout quand, pour une fois, le
puissant Chérif de Marrakech est allié au grand Roi du Portugal.
Hinda la protégée de l’Etoile Aldabaran
Conte illustré 120 Pages et 20 planches hors texte
En se rendant au pèlerinage de La Mecque, un jeune astronome marocain
qui doit aussi rencontrer un grand savant dans la capitale du Yemen est la
cause involontaire d’une méprise qui va
causer la répudiation de la belle Hinda par son époux le cruel Fakhri
La honte sur sa tribu et sa famille ne pourra être lavée que par le
jugement de ce grand savant Yéménite, que justement Farid doit rencontrer, et
qui prouvera à l’époux jaloux sa
clairvoyance en découvrant ce qui a été caché dans la crinière d’un cheval.
La route est longue dans le
désert d’Arabie et pleine d’aventures pour les deux caravanes qui
chevauchent vers leur destin. Mais,
vous le devinez Farid et la belle Hinda
que guide sa bonne étoile, doivent être unis et les méchants chassés.
Ouvrages en achévement
Le recommencement
Fiction hédoniste
A la suite d’un naufrage deux
femmes, une jeune fille, trois hommes, un adolescent, qui ne se connaissaient
pas auparavant se retrouve dans une « ile déserte »
Si déserte qu’étant hors de toutes routes de navigation ils arrivent à se persuader qu’il leur
faudra jouer à « Robinson. » Pas de problèmes pour leur besoins
essentiels mais comment vont se jouer
les relations hommes femmes.
Mis à part les deux adolescents, il se trouve que les personnages ont
en commun l’expérience et les déceptions d’une société dominée par la morale
judéo chrétienne et puisqu’il leur faut vivre sans espoir de retourner
à leur civilisation ils conviennent de reconstruire autre chose, une
autre morale, basée sur la joie et le bonheur.
L’action de ce roman encore en cours de réalisation, se déroule vers la
conclusion (déjà écrite.) Une cinquantaine d’années après leur arrivée sur
cette île un cataclysme frappe la terre entière à partir de tout de qui est
électrifié. La mer progressivement se retire autour de l’île dont les habitants vont avoir accés aux
continents « nettoyés »
« …car Dieu les avait choisi parce qu’ils étaient purs.
Dieu ? Oui ! Car tous comptes faits il y avait un Dieu. Mais pas
celui que l’on croyait , pas celui qui
régnait auparavant ; mais l’autre, Satan, celui qui avait été évincé par
les tristes partisans de l’auto flagellation , et qui reprenait sa place pour
leur demander de seulement s’aimer et être heureux. »
C’était au Sahara avant le Paris-Dakar
(Roman en cours)
Qui s’inspire beaucoup de l’expérience
saharienne aventureuse de l’auteur
pendant les années 45-50. Dans une compagnie de transport automobile,
puis dans une exploitation minière
Petit soldat deviendra grand
(Nouvelle Partiellement autobiographique).
En Lorraine on se prépare une nouvelle fois à la guerre, l’enfant
paysan devient l’enfant ouvrier dans l’enfer des Hauts-Fourneaux de Thionville , il découvre les luttes
ouvrières de 1936, puis devient
l’enfant soldat dans l’enfer de
la guerre. Et dans la tourmente de la défaite devient un homme dans les bras
d’une petite infirmière de l’Armée Républicaine Espagnole qui a repris du
service pour soigner les soldats français.
Un mauvais atterrissage
(Nouvelle)
Dans l’avion on se prépare à l’atterrissage, mais que se passe t
il ? on remonte , on tourne, on
s’inquiète, on a peur, le temps paraît bien
long et pourtant on voudrait qu’il dure, et tous ces visages voisins que l’on a
ignorés pendant trois heures deviennent visibles, humains. Et puis tout
s’arrange « on l’a échappé belle »
le voyageur reçoit sur son épaule les sanglots de cette jeune femme si
distante tout à l’heure.
Le Lac
(Nouvelle)
Dans la solitude de ce coin de lac où il observe le flotteur de sa
ligne, le pêcheur repense encore à la trahison, à la dureté des mots, C’est
loin mais c’est comme certains rêves ils reviennent de temps à autre encombrer
votre sommeil persistent encore un peu avec la tasse de café et puis
retournent au placard de l’oubli Mais
s’ils refusent un jour de retourner dans ce placard ?
O toi que j’eusse aimée…
Nouvelle
Au crépuscule d’une vie d’homme, reviennent à sa mémoire les visages de
celles qui l’aimèrent et n’est ce pas du remords cette vibration au cœur ?
Ou des regrets ? Non pas des regrets, seulement la honte et le remords de
les avoir fait pleurer.
Travaux historiques concernant le Maroc
Azemmour et Mazagan deux places fortifiées marocaines au XVI siècle
Ouvrage publié en auto édition 224 pages et gravures vendu 110 FF
En l’an 1502 le
Capitaine portugais Jorge de Mello, ayant fait naufrage dans la baie de
Mazighan, décide d’installer un comptoir dans la vieille tour berbère où il
s’est réfugié avec son équipage.
Un peu plus tard, en
1515,son souverain fera construire à quelques centaines de mètres de là un
donjon fortifié qu’il fait appeler « Castiho Réal de Mazagao »
Ne pouvant
arriver à conquérir durablement la
ville marocaine voisine d’Azemmour et voulant protéger les habitants portugais
chassés de Safi par le souverain Saadien de Marrakech, les portugais
construisent en 1542, une ville autour du donjon médiéval et la protège d’une
enceinte fortifiée qui sera la plus moderne de l’époque.
Dans le contexte de ce
début de la Renaissance, des aventuriers courageux s’affrontent, s’allient,
s’entretuent. Des hommes que rien ne distingue si ce n’est leurs religions,
mais aussi des femmes comme ces soixante héroïnes marocaines qui sauvèrent
Azemmour, ou ces « boulangères » portugaises qui sauvèrent Mazagan en
empêchant les défenseurs de fuir devant l’assaut marocain.
Récit historique aux
sources vérifiées, ce livre est aussi passionnant qu’un roman d’aventures.
1000 photos pour un demi siècle d’histoire Maroc 1900-1950
Album réalisé à 50% en décembre 1999
Ces 1000 photographies
sont l’exploitation de la collection de l’auteur de 700 cartes postales et des
photographies illustrant les revues qui parurent pendant cette période.
Coloniale.
Tous les documents
reproduits sont traités par scanérisation et traitement d’images pour obtenir une qualité photographique et un format uniforme de 150 x 92 mm.
Classés
chronologiquement ces documents sont accompagnés par périodes historiques de
textes explicatifs et de cartes des opérations militaires. Ombres et lumières d’une conquête, cet
ouvrage n’a pas l’intention de n’en montrer que les aspects négatifs, les
réalisations positives : infrastructures, mise en valeur des monuments du
passé, architecture des villes, sont également représentées, de même que les
témoins marocains et étrangers qui ont marqués cette époque.
Préhistoire
Protohistoire du Sud Marocain - Vallée de l’Oued Draâ et Anti-Atlas
Hypothèse d’une influence scandinave sur la métallurgie du cuivre et
les mégalithes
Plaquette de 57 pages au format B5 et 30 planches hors texte
Auto édition par l’auteur, en tirage limité vendu sur commande 90 FF
En cours
Corpus des gravures rupestres de
Mrimima
Plus de
400 gravures relevées par l’auteur sur les collines de Mrimima
Bibliographie marocaine
Recensement dans toutes les anciennes revues, et livres que l’auteur a lu ou consulté, de toutes les publications écrites sur le Maroc depuis 1900.
La révolte de Batna en 1916
Reprise d’un rapport dactylographié de 450 pages sur les événements qui secouèrent la région de Batna en 1916, rédigé par l’ « Inspecteur Général des communes mixtes. Directeur intérimaires des Territoires du Sud » signé et daté du 1er Septembre 1917
Casablanca 20 Novembre 1999
Robert Letan BP 8081 Casablanca Maroc Mèl : r.letan@ mbox.azure.net