Association des Jeunes Chercheurs Européens en Littérature Québécoise

C°/Hélène AMRIT
2, rue Brun
F92340 BOURG LA REINE
Tél : 01 47 02 39 32
AJCELQ@aol.com

Bourg la Reine, le 16 septembre 2001

Invitée par le Centre d'Etudes Canadiennes d'Innsbruck dirigé par Ursula Mathis, l'Association des Jeunes Chercheurs Européens en Littérature Québécoise lance un appel de communication pour son cinquième colloque.

Après Paris, Gênes et Montréal, c'est Innsbruck qui accueillera le colloque des

Jeunes Chercheurs Européens en Littérature Québécoise

les 25, 26 et 27 octobre 2002

Cinquième Colloque des Jeunes Chercheurs Européens en Littérature Québécoise à INNSBRUCK

Le succès de nos rencontres, qui eurent lieu à Paris en 1993 et 1996, puis à Gênes en 1999 et à Montréal au sein du congrès de l'ACFAS en 2000, fait que l'Association des Jeunes Chercheurs Européens en Littérature Québécoise a décidé de continuer sur sa lancée et vous invite à participer à son Cinquième Colloque des Jeunes Chercheurs Européens en Littérature Québécoise. Invité par le Centre d'études canadiennes de l'Université d'Innsbruck dirigé par Mme Ursula Mathis, ce colloque, dédié à Monsieur Pierre de Grandpré, se déroulera les 25, 26 et 27 octobre 2002 à Innsbruck.

Les personnes qui désirent faire état de leur recherche doivent s'adresser le plus tôt possible à l'association. Tous les jeunes chercheurs européens (en maîtrise, DEA, doctorat ou postdoctorat) de littérature québécoise peuvent proposer une communication de 20 minutes portant sur leur recherche selon les conditions émises par l'association.

L'objectif de ce symposium est de pallier à l'isolement de certains chercheurs. En créant ce type de rencontres studieuses et conviviales, nous souhaitons encourager la recherche littéraire québécoise sur le continent européen et la rendre ainsi plus populaire dans les milieux universitaires sans toutefois la confiner, comme c'est trop souvent le cas, aux études dites francophones.

Rappelons en guise de témoignage l'introduction de la préface de Claude DUCHET lors de la publication des Actes du premier colloque par le CCIFQ :

Des jeunes chercheurs venus de toute l'Europe, et même de Pondichéry, pour la littérature encore jeune d'un pays où se croisent les cultures de l'ancien et du nouveau monde, une affirmation originelle de « francophonie » qui n'a dû d'exister qu'à quelques enthousiasmes et à une confiance vite partagée par tous, un colloque exigeant, stimulant, riche de promesses et d'engagement pour l'avenir, voilà de quoi combler l'auteur de ce salut. Lui qui eut l'honneur d'ouvrir cette rencontre et qui, depuis bientôt trente ans œuvre en France pour la prise en compte et la promotion, l'étude et la diffusion d'une littérature inventive, qui n'a cessé de développer ses interventions, de varier ses formes, de manifester une existence à la fois différente et semblable - ce qui ouvre à des confrontations fécondes -, et qui peu à peu produit ses méthodes d'investigations spécifiques, susceptibles d'enrichir en retour la recherche.

La réussite de ces journées repose sur la divulgation de leur existence auprès des jeunes chercheurs et des enseignants-chercheurs ayant la littérature québécoise comme centre d'intérêt. Nous comptons sur vous et votre entourage pour transmettre l'information auprès du plus grand nombre de personnes concernées.

Nous sommes ouverts à toutes propositions pouvant aider l'épanouissement de la littérature québécoise en Europe. Si vous pensez pouvoir collaborer d'une façon ou d'une autre à notre projet, n'hésitez pas à nous contacter.

Au plaisir de vous rencontrer,
Bien cordialement,
Hélène Amrit,
Présidente de l'AJCELQ