Dossier de presse
du
vendredi 12 novembre au dimanche 19 décembre 2004
Théâtre Nanterre-Amandiers - Transformable
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contact
relations publiques
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horaires
du mardi au samedi à 20h30, dimanche à 16h (relâche
lundi)
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location individuelle : 01 46 14 70 00
et magasins Fnac www.nanterre-amandiers.com www.fnac.com et www.theatreonline.com
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prix des places : de 24 € à 10 €
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Théâtre
Nanterre-Amandiers
7, avenue Pablo-Picasso
92022 Nanterre
RER Nanterre-Préfecture
(ligne A)
Navette assurée par le
théâtre avant et après les représentations
www.nanterre-amandiers.com
Texte Aziz Chouaki
Mise en
scène Jean-Louis Martinelli
Scénographie
Gilles Taschet
Costumes
Patrick Dutertre
Lumières
Marie Nicolas
Son Philippe Cachia
Maquillage et coiffure Françoise Chaumayrac
Assistante
à la mise en scène Emanuela Pace
avec
Hammou
Graïa,
Zachariya Gouram
Mounir Margoum
Production : Théâtre Nanterre-Amandiers – Théâtre
National de Bretagne
Tournée : Du 11 au 22 janvier 2005 au
Théâtre National de Bretagne à Rennes
Le 5 février 2005 au Théâtre des
Sources, Fontenay aux Roses
A son arrivée à la direction du Théâtre des
Amandiers en janvier 2002, Jean-Louis Martinelli passe une commande d’écriture
à deux auteurs, Laurent Gaudé et Aziz Chouaki.
Regards croisés, d’un bord de la Méditerranée
à l’autre, sur la question algérienne qui donnent lieu à deux créations : Les
Sacrifiées de Laurent Gaudé en mars 2004, et Une Virée en novembre
2004.
Une Virée est à l’origine une nouvelle parue en 1990 dans l’hebdomadaire
algérien Le Nouvel Hebdo, dont Aziz Chouaki accepte de réécrire une
version théâtrale.
Note de l’auteur
Dans une Alger déchiquetée par l’islamisme,
le crime et la corruption, la vie essaye de se trouver du sens. Pour preuve,
trois amis veulent faire bombance. Car c’est l’un des thèmes centraux de ce
texte : faire bombance.
Sauf que ça se passe dans un pays qui se
décompose.
Trois personnages aussi divers que complémentaires, qui vont, l’espace d’une errance, d’un soir, essayer d’assembler leurs lignes de fracture. Unis dans la dérive, ils se montreront leurs fantasmes, leur Algérie. Ils vont opposer la rage de leur blues contre celle du béton, du Discours.
A travers cette errance, des éléments du
drame d’Algérie sont donnés à lire en puzzle. Toujours puisés dans la représentation
du quotidien simple, dans la nature de sa langue. Tournée des bars, kif,
gueuletons, amphétamines, alcool, le trio achève son errance sur une plage,
dans la banlieue d’Alger.
Là, en une espèce d’oratorio désaccordé, tout
se déconstruit. Ils sont traversés par toutes les névroses du pays, le fauve
reprend le dessus et le drame arrive, presque gratuit.
Cette pièce montre les personnages aux prises
avec un réel piégé, sans issue. Ils vont évoluer dans leur dérive comme des
sortes de boussoles détraquées. Car même le Nord, (au sens «perds pas le
Nord »), semble totalement absent dans cet univers.
A un certain endroit, ce texte est aussi un
franc bouquet de sensations, d’odeurs, de tchatche. Un hommage à l’idée d’un
certain possible, bientôt, en Algérie.
Aziz Chouaki
Note du metteur en scène
La lecture de l’Etoile d’Alger est ma première rencontre avec l’œuvre d’Aziz Chouaki. Dès l’abord, je suis frappé par la langue incisive, brute. D’où le désir de croiser son travail, de faire un bout de chemin avec lui, de me nourrir de ses impressions, de ses doutes, de ses coups de pied dans la fourmilière de nos certitudes. Une Virée fait donc suite à nos conversations. Ces trois jeunes hommes, en virée, en dérive, en revirements me bouleversent. Réduits à n’être que les commentateurs d’une histoire qui leur échappe, ils luttent dans le vide avec fougue et énergie.
Cette pièce se passe à Alger, certes, et l’histoire de l’Algérie passionnée, douloureuse, incompréhensible est présente à chaque instant et pourtant nous pourrions retrouver ces trois là, leur révolte, leur irrespect nourris d’immenses frustrations en tout point du globe. Je pense ici à la population de Catégorie 3 :1 de Lars Norén. Tel l’auteur suédois, Aziz manie de la dynamite, s’en prend à tous les clichés et qui plus est parvient à nous secouer de rire alors même qu’il nous entraîne dans cette descente aux enfers, nous conduit au cœur du gâchis de ces vies.
Jean-Louis Martinelli
A propos d’Une Virée
« Beaucoup de gens ont du mal avec mes textes parce qu’ils sont bourrés de gros mots mais moi je les revendique comme une langue. Celle du désir. Contre la purification ethnique, je revendique une langue impure, sexuée, bâtarde, mêlée comme le créole »
Aziz Chouaki
Pas de doute que la virée dont il est question est une errance à la fois spatiale et psychologique. Les trois héros sont, d’après les mots d’Aziz Chouaki, « déchiquetés entre les images formatées du monde occidental et le vide de leur cité». Errance dans les mots employés qui naviguent à vue entre le français, l’arabe et l’anglais, errance dans le discours, parsemé de clichés et de « débris de mythologie occidentale » où chacun se rêve en gangster, rockstar ou killer, faisant appel à l’imagerie de la fiction pour se sauver du néant.
Derrière les allures de discussions de comptoir et de quotidien, c’est bien la situation de leur pays, leur propre rapport à l’espace, au temps et à leur civilisation que Rachid, Lakhdar et Mokhtar donnent à entendre.
Le style particulier
d’Aziz Chouaki, fidèle à la langue bigarrée parlée en Algérie fonde
l’originalité d’Une Virée. Il ne s’agit
pourtant pas d’un pastiche ou d’une parodie : le parler acquiert ici son
statut de langue à part entière, à contre-courant du processus d’arabisation
qui relègue cette langue orale au niveau de dialecte vulgaire.
« Quand je
suis en période d’écriture, les quatre langues de mon pays crient
« Présent !» dans ma tête. (…) Me bricoler une écriture qui serait
une espèce de zone franche des langues, tel est mon idéal. »
Ecriture protéiforme, à l’image de l’identité algérienne, «langue créole» propice à la métaphore, et surtout langue éminemment poétique, elle fluctue entre la violence des échanges, la dureté de la rue, et une parole de l’intime, où se télescopent les images et les idées, comme dans un rêve éveillé.
Aziz Chouaki n’est pas un auteur national : se considérant comme écrivain avant d’être Algérien, celui qui a « perdu la Nation comme on perd la foi » donne la parole « à ceux qui ne l’ont jamais, aux exclus de tout » en auteur surtout « concerné par la connerie des hommes en général ».
Une Virée est aussi un texte sur le
rapport à la fiction comme résistance face au monde. A la manière d’un Don
Quichotte, entre réel et imaginaire, les héros trouvent un moyen de donner un sens momentané à leur
vie par le biais de personnages, d’extraits de films ou de chansons. Ces
incursions dans la fiction sont autant
de moments de plaisir volé au vide de leur existence.
La scénographie de Gilles Taschet met en lumière ces réflexions sur le quotidien et le vide. L’espace de jeu est un espace neutre, pas vraiment fini, un port ou un hangar qu’on aurait tous déjà traversé. Mais placé au centre de la scène, au milieu du plateau laissé délibérément vide, il incite le spectateur à questionner cette opposition de l’occupé et du déserté, du concret et de l’abstrait, de la réalité et de la fiction.
Une Virée extraits
« Mokhtar :
Et alors, c’est quoi, un film ? c’est la vie, les
trucs de tous, des conneries, des trucs bien. Ça t’apprend des émissions de
tout quoi, et les martiens pareil, j’ai vu l’autre jour encore truc, là… à la
télé l’autre soir, après la météo.
Rachid : Les soucoupes volantes ?
Mokhtar : Ouais, les soucoupes volantes, eh ben t’apprends, merde. C’est ça un film. Ce qu’on vit c’est un film. »
« Lakhdar : comment elle s’appelle le truc de théâtre, là qu’on a vu en arabe classique on pigeait rien. Avec les turbans, les fausses barbes. Tu vois, à la cité U, on devait fourguer du shit ? Comment ça s’appelait ?
Rachid (il tire son joint) : Fox.
Lakhdar : Quoi, Fox, c’est le nom de la pièce ?
Rachid : Oui, Fox, le mec qui deale son âme au Diable, truc comme ça. »
« Rachid
(aparté) : Tout de suite, là,
hors-bord tranquille. Devant bleue et large, la mer. Vvv, direct Marseille,
flots fendus propres, vent du Sud et du Nord qui, et la lune mouillée droite,
clin d’œil Ricard bien frais, hop stop pas le noyer. Ouais, hors-bord direct,
derrière Alger, laisse les cris la rage, laisse derrière, l’écume, la guerre,
laisse aussi les mains tendues, dégage ! Les souvenirs, dégage !
L’Algérie et son Vietnam, putain de dégage, oh dégage de moi, je peux pas t’expliquer, les larmes des lames arabes,
laisse derrière, dégage ! Et devant, juste calme, tout de suite simplement
clair : la Canebière (…) »
Autour d’une Virée
« Pour moi, James Joyce est l’écrivain d’une grande littérature à venir. Celle de l’universel hybride, parfait scannage de la parole du jour livrée à elle-même. »
Aziz Chouaki
« Estragon – En attendant, essayons de converser sans nous exalter, puisque nous sommes incapables de nous taire.
Vladimir – C’est vrai, nous sommes intarissables.
Estragon – C’est pour ne pas penser.
Vladimir – Nous avons des excuses.
Estragon – C’est pour ne pas entendre.
Vladimir – Nous avons nos raisons.
Estragon – Toutes les voix mortes
.
Vladimir – Ca fait un bruit d’ailes.
Estragon – De feuilles.
Vladimir – De sable.
Estragon – De feuilles. »
En attendant Godot, Samuel Beckett
« Direction Londres-Liverpool-Paris.
L’inscription, occupant tout un mur au carrefour de Kouba, est barrée par une
destination autre, mais tout aussi connotée : Bagdad. Ces voyages
imaginaires que s’inventent les murs décrépis de la « place des chômeurs »
expriment moins un projet, un rêve, un futur, que la rature d’un présent ;
de Liverpool à Bagdad, ce qui est gommé, c’est Alger, ou s’élaborent et se
réfléchissent l’ailleurs et sa vision, l’autre et son regard.»
Dallas-Bagdad, ou les voyages imaginaires de la jeunesse, Mouny Berrah
En
1977, il fonde sa compagnie, le Théâtre du Réfectoire à Lyon et crée entre
autres
1980 Le Cuisinier de Warburton
d'Annie Zadek
Théâtre des Célestins, TNP Villeurbanne, Théâtre de la
Bastille)
1981 Barbares amours d'après
Electre de Sophocle et des
textes de Pier Paolo Pasolini
(TNP Villeurbanne)
1982 Pier Paolo Pasolini d'après l'œuvre de
Pier Paolo Pasolini
(Maison de la Culture du Havre, Théâtre du Point du Jour,
Biennale de Venise)
1983 L'Opéra de quat'sous
de Bertolt Brecht et Kurt Weil
(Maison de la Culture du Havre, TNS, Maison de la Culture
de Bourges …)
En
1987, il est nommé directeur du Théâtre de Lyon et met en scène entre autre
1990 La Maman
et la putain de Jean Eustache
(Toulouse, Théâtre de Lyon,
Chambéry, MC93 Bobigny, Caen, Cherbourg, Lausanne…)
1992 L'Eglise
de
Louis-Ferdinand Céline
(Théâtre
de Lyon, Théâtre Nanterre Amandiers, CDN Lyon, Théâtre du Huitième, Chambéry)
Impressions-Pasolini d'après Pier Paolo Pasolini (Variations Calderόn)
(Festival
d’Avignon, Théâtre de Lyon, Limoges, Marseille, Paris Cité internationale,TNS…)
1993 Les
Marchands de Gloire de Marcel Pagnol
(Festival
d’Avignon, MC93 Bobigny, Théâtre de Lyon, Marseille, Toulouse, Genève, Brest,
TNS…)
En
1993, il est nommé directeur du Théâtre National de Strasbourg (TNS) et met en
scène entre autre
1995 Roberto Zucco de Bernard-Marie Koltès
(TNS,
Comédie de Genève, Théâtre des Amandiers Nanterre)
Voyage à l'intérieur de la tristesse de Rainer Werner Fassbinder
(Festival d’Avignon, TNS)
- L'Année des treize lunes de Rainer Werner Fassbinder,
(Festival d’Avignon, TNS, Halle de la
Villette)
1997 Andromaque de Jean Racine
(TNS, Villeneuve d’Ascq))
Germania 3 de
Heiner Müller (TNS)
(TNS, Théâtre de la
Colline Paris, Théâtre du Nord Lille, Dramaten Stockholm…)
1998 Œdipe le
Tyran de
Sophocle, version de Friedrich Hölderlin, traduction Philippe
Lacoue-Labarthe
(Festival d’Avignon,
TNS, Scène nationale de Sceaux)
2000 Phèdre de Yannis Ritsos (TNS)
Catégorie
3 :1 de Lars Norén
(TNS,
Nanterre-Amandiers en 2002)
En 2002, il prend la direction du Théâtre
Nanterre-Amandiers et crée
2002 Platonov de Tchékhov (Théâtre Nanterre Amandiers)
Jenufa de Janacek
(Opéra de Nancy)
Voyage en Afrique,
« Mitterrand et Sankara » de Jacques Jouet
2003 Andromaque de Jean Racine
2004
Médée de Max Rouquette
2004 Les
Sacrifiées de Laurent Gaudé
Aziz Chouaki / auteur
2002 L’Etoile d’Alger (roman)
Ed. Balland
2001 Avoir 20 ans à Alger,
(fiction) Ed. Alternatives
Une Enfance Outremer, Le Seuil, points virgule (
collectif)
El Maestro, (théâtre) Ed
Théatrâles
2000 Aigle, (roman)
Gallimard/Frontières
1998 Les
Oranges, (conte contemporain) Ed. Mille et une Nuits
1989 Baya, (roman) Ed.
Laphomic, Alger
1982 Argo,
(poèmes/nouvelles) Ed. L’Unité, Alger
Baya,
diffusion de la pièce, France Culture (1992)
Fruits
de mer, 24 nouvelles, Radio
Suisse Romande ( 1993)
Brisants de mémoire, cinq dramatiques, France Culture (1995)
Baya,
mise en scène Michèle Sigal, Nanterre Amandiers, 1991.
Les Oranges, mise en scène de l’auteur , TILF, La
Villette,1997.
Mise en scène Laurent Vacher, tournée en province,
théâtre de la Cité Internationale, 1998.
Mise
en scène Philippe Boyau, Grenoble, 2000, en tournée.
Mise
en scène Eric Checco, Avignon, 2001, en tournée.
Mise
en scène Francis Azéma, Toulouse, en tournée.
El
Maestro, mise en scène Nabil
El Azan, (Scène nationale du Creusot, La
Mousson d’Eté, TILF, La Villette, 2001)
Mise
en scène de l’auteur, Avignon 2002, en tournée.
Le
Portefeuille, mise en scène
Mustapha Aouar. (La laiterie, Strasbourg, 2001)
Avoir 20 ans à Alger, mise en scène
Mustapha Aouar (Gare au Théâtre, Vitry sur seine, 2001)
Le
Trésor, mise en espace Michel
Didym, Théâtre SaulCy, Metz, 2000
Bazar, mise scène Pascale Spengler (
La Laiterie, Strasbourg, 1999)
Le
père Indigne, mise en scène
Mustapha Aouar Gare au Théâtre, Vitry sur seine, 1999)
Boudin-purée, mise en scène Mustapha Aouar (Gare au Théâtre,
Vitry sur seine, 1998)
L’Arrêt
de bus, mise en scène Laurent
Vacher, création janvier 2003, Scène
nationale de Forbach, en tournée.
Les
villes invisibles d’Italo Calvino, adaptation et mise en scène,
Sevran 2003
Le
Tampon Vert lectures itinérantes organisées par le Théâtre des
Amandiers, 2004
HAMMOU
GRAIA, comédien
Formation
Conservatoire National
d’art Dramatique de Paris (1976-1979), classe Antoine Vitez
Théâtre
2004 : Les Sacrifiées de Laurent Gaudé
/ Jean Louis Martinelli
2002 : Martin Luther king, JR la force d’aimer adaptation et
mise en scène de Hammou GraiaE.
2001 : La raison d’être de la littérature Gao Xingjian/S.
Avédikian
2000 : Fric frac Bourdet/A. Prieto
1998 : Femmes de Troie Euripide/M. Langhoff
Depuis 1975, il a travaillé sous la direction de Georges Wilson, J.M.
Winling, L. Terzieff, P. Chéreau, S. Loucachevsky, B. Boëglin, P. Rambert…
Cinéma et
télévision
Il a tourné avec Amal Bedjaoui Un Fils (2003),
Augustin Burger Avant l’oubli (2003), Guillaume Nicloux Cette femme
là (2003), Bertrand Blier Les côtelettes (2002), Ottokar Runze Le
volcan (1998), Rachida Krim Sous les pieds des femmes (1996), Amhed
Bouchaala Krim (1994), Alexandre Arcady L’union sacrée (1988),
Patrice Chéreau L’homme blessé (1983)…
Il a également tourné pour des court-métrages avec
Nathalie Loubeyre, Julie Bonan…
Pour la télévision il a tourné avec Caroline
Hupert Le porteur de cartable (2002), Rachid Bouchareb Déposez…;Armes
(1992), Claude Grinberg, Claude Mourieras Giacometti-Genet dialogues
imaginaires (1989)…
ZAKARIYA
GOURAM, comédien
Formation
Après l’école du Passage et la Rue Blanche
(E.N.S.A.T.T.), il parfait sa formation en travaillant avec Madeleine Marion,
Ariane Mnouchkine, Elisabeth Chailloux et le TG Stan.
Depuis 1991, il mène, en parallèle à son travail de
comédien, un travail de recherche sur l’art de la mise en scène et de l’acteur
avec le Sacré Théâtre.
Théâtre
les Innocents de Jules Valles, mise en
scène : M. Clévy
Ni Bon Ni Méchant de Fassbinder, mise en scène J. Oursin
Bal Trap de Durringer, mise en scène E. Roger
Corps d’Adel Hakim, mise en scène Q.Baillot
Othello de Shakespeare, mise en scène G. Kondzot, prix du
Souffleur
Sallinger de B.M. Koltès, mise en scène : E. Chailloux,
Théâtre des Quartiers d’Ivry
Cinéma
Il
a notamment tourné dans Killer Kid de G. de Maistres, Zonzon de
L. Bouhnik, La Squale de F. Genestal, Plus qu’Hier Moins que Demain
de L. Achard, (nominé pour le prix Michel Simon, et prénominé aux Césars 2000), Le Mariage en papier de
S. Duvivier (Grand Prix d’Interprétation de Clermont-Ferrand 2001), Avant
l’oubli d’A. Burger (2003), Avant
qu’il ne soit trop tard de
L.Dussault (2004).
MOUNIR MARGOUM, comédien
Formation
C.N.S.A.D. (Conservatoire National Supérieur d’Art
Dramatique)
Classe de Joël Jouanneau, Daniel Mesguich, Denis Podalydès
et Lukas Hemleb ( 2000-2003)
2004 : En Enfer
de Reza Baraheri/ Thierry Bédart ( Festival d’Avignon)
2004 : Les Sacrifiées de Laurent Gaudé
/ Jean Louis Martinelli
2003-2004 : La lamentable tragédie de Titus
Andronicus Shakespeare / Lukas Hemleb / Maison de la Culture de Bourges
et tournée
2002 : On ne badine pas avec l'amour
Alfred de Musset / Eva Doumbia
Pseudolus Plaute / Brigitte
Jaques-Wajeman / Auditorium du Louvre
Téléfilm
2004 :
Rue des Figuiers de Yasmina
Yahiaoui (Arte)