Ch. 1, |
"Jamais elle n'avait vu une si terrible peinture"depuis "Brusquement, un frisson courut…" jusque "..dont elle accentuait l'insoucieuse misère." |
32-35 |
71-74 |
Ch. 2, |
La nouvelle peinturedepuis "Maintenant, il faut autre chose…", jusque "Une sacrée suite de toiles à faire éclater le Louvre". |
62-64 |
103-106 |
Ch. 3, |
"Paris est à nous"depuis "Il était quatre heures…", jusque "…d'où montait une ivresse qui grisait leur lassitude." |
96-98 |
141-143 |
|
"Que le tonnerre de Dieu emporte les imbéciles !"depuis "Mais Jory se planta au milieu de la chambre…", jusque "…et que le tonnerre de Dieu emporte les imbéciles !" |
108-110 |
155-157 |
Ch. 4, |
La première vraie pose brise l'innocencedepuis "Au fond de lui, maintenant, une pensée unique montait…", jusqu'à la fin du chapitre. |
141-145 |
189-193 |
Ch. 5, |
La foule devant la toile de Claude au salon des refusésdepuis "Mais brusquement, Jory parut devant eux…", jusque "…Ah ! race ennemie, stupidité de bourreaux !" |
158-162 |
205-209 |
|
Claude et Christine deviennent amantsdepuis "Claude resta un moment
immobile…", jusqu'à la fin du chapitre. |
174-175 |
222-223 |
Ch. 6 |
Le travail tué par l'amourDepuis "Claude, cependant, fit quelques tentatives de travail…", jusque "le besoin inassouvi de se posséder encore" |
184-185 |
231-233 |
|
"la littérature qui va germer pour le prochain siècle de science et de démocratie"depuis "Le journal, vois-tu, n'est qu'un terrain de combat…", jusque "..Rentrons, je ne veux pas manquer le train." |
200-202 |
248-251 |
Ch. 7 |
Bongrand, la presse et les FagerollesDepuis "Ses mains tremblaient…", jusque " ..il venait de passer un contrat très avantageux avec Naudet" |
223-228 |
273-277 |
|
L'œuvre de Sandoz/Zola et les journalistesDepuis "Mais Sandoz, assis devant sa table…", jusque "…pour avoir sa soirée libre." |
233-235 |
284-285 |
|
"Alors, Claude sentit nettement quelque chose se rompre"Depuis "Jory, agacé, fumait en silence…", jusque "..regardait Claude sans le voir, les yeux vagues" |
242-244 |
293-295 |
Ch. 8 |
L'isolement et le tragique du créateurDepuis "Aussi, la troisième année…", jusque "…pour tous ceux qui se meurent de ne pouvoir faire de la vie !" |
253-255 |
303-305 |
|
Le cœur de Paris et la naissance du dernier tableauDepuis "Au pont des Saints Pères, Claude, désespéré, s'arrêta…", jusque "..ah ! mon Dieu ! que c'est beau !" |
260-262 |
311-313 |
|
La baigneuse de Mahoudeau et le mariage bâcléDepuis "Le poêle commençait à rougir…" jusque "..ces hanches d'argile broyées à ses pieds." |
273-277 |
324-328 |
Ch. 9 |
Le symbolisme de la femme/Paris et la logique de SandozDepuis "Un matin, Claude, qui jusque là n'avait pas rouvert sa porte…", jusque "…parmi les omnibus des quais et les débardeurs du port Saint Nicolas. |
287-288 |
338-340 |
|
"Cet effort de sang et de larmes": la toile crevée.Depuis "Ah ! cet effort de création dans l'œuvre d'art…", jusque "…une mince cicatrice, qui acheva de passionner le peintre" |
298-300 |
349-352 |
|
Le travail dévorateur de SandozDepuis "Et, pénétré par la mélancolie du crépuscule,…", jusque "..pour que j'en meure encore !" |
317-320 |
369-373 |
|
L'enfant mortDepuis "Le lendemain matin…" jusqu'à la fin du chapitre. |
322-324 |
374-376 |
Ch. 10 |
Le public devant le tableau de FagerollesDepuis "C'était le tableau de Fagerolles…", jusque "…les mêmes yeux ronds de ravissement imbécile." |
346-348 |
399-401 |
|
La dérision et la mortDepuis "Et deux heures plus tard…", jusqu'à la fin du chapitre. |
369-371 |
422-424 |
Ch. 11 |
Le dernier repas chez Sandoz: la curéeDepuis ""Sandoz et Claude, qui ne fumaient pas…", jusque "…qui emportait sa chimère d'éternelle amitié." |
400-403 |
452-455 |
|
"Où avait donc sombré l'île triomphale ?"Depuis: "Quand elle le vit s'engager dans cette dernière…", jusqu'à la fin du chapitre. |
408-410 |
460-463 |
Ch. 12 |
La folie de Claude et la révolte de ChristineDepuis "Ah ! quelle pitié…", jusque"…l'autre est bien morte" N.B. Ce texte peut être divisé. |
413-421 |
465-473 |
|
L'appel de la gueuseDepuis "Le jour allait naître…", jusque "…debout, jusque dans sa démence" |
422-424 |
474-476 |
|
"Cette fin de siècle encombrée de démolitions"Depuis"Sandoz et Bongrand avaient regardé…", jusque "…entre ses quatre planches." |
433-434 |
484-486 |
|
La locomotive contre la prièreDepuis "Les croque-morts descendaient le cercueil…", jusque "…incendiant le jour morne d'une pluie de braise" |
434-435 |
486-488 |
|
"Allons travailler"Depuis "Nous seuls l'aurons connu…", jusqu'à la fin du roman. |
436-437 |
488-489 |